jeudi 15 janvier 2009

Match #43: Montréal 3, Nashville 2


Prenons un instant pour nous recueillir, ici. Comme la grande majorité de la population humaine, je n'ai absolument rien à foutre des Predators de Nashville. Normal. Mais ils ont tout de même un aspect qui me fascine. Leur coach.

Barry Trotz me terrifie, en fait. C'est de la fascination morbide. Quel bizarre monsieur. On dirait le evil twin de Claude Julien. Je m'imagine le croiser, tard le soir, dans une ruelle. J'aimerais mieux croiser Alien, je pense. Cet homme doit se nourrir d'un mélange de déchets et d'enfants morts. Il paraît que lorsque Claude Julien est né, les médecins étaient unanimes: voilà le bébé le plus laid que toute la terre n'ait jamais porté. Et la mère de Barry Trotz, voyant un reportage sur le plusse bébé laitte du monde, s'est dit: "Pfft... Je peux battre ça!". Elle est donc allée se faire enfanter par la bebitte qu'on voit sur le cover du film Bad Taste.

Et ça a donné notre ami Barry.

Bon, et la game dans tout ça? Une bonne game! J'ai été plus captivé par un match contre Nashville que par celui contre les Bruins, qui l'eut cru? Big Tits est déterminé à scorer chaque soir, et la troisième période a été fascinante, surtout lorsque les Predators ont enlevé leur goaler. Les Canadiens ont plus de facilité à scorer quand il y a un goaler dans le but, ça a l'air.

Bégin s'est fait sacrer une volée par Two-Two, le seul eskimo de la ligue. Don't fuck with eskimos. Si jamais y a un joueur des Canadiens qui gagne une bataille d'ici la fin de la saison, je vais faire un méchant saut.

D'Agostini est invisible, mais comment peux-tu être visible quand tu joues avec Chipchura? Kovalev, quoi que grippé, a été parfois spectaculaire, parfois horrible.

I like the Habs.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

C'est toujours les mêmes larrons qui sauvent les fesses des pu-Glorieux. Les frères Totons, l'Artiss, Markov (l'homme sans surnom).

Le Robot est toujours aussi moche.

Au moins, après une partie capitale perdue contre les Bruns, vous pouvez vous réjouir d'une victoire sur un club dont tout le monde se fout.

Nouvelle de dernière heure au sujet de Vinny, il aimerait jouer dans une ville où il y a de bons restaurants et des théâtres.

bandes de larves.

nabot