Fuck you Jean Perron.
Fuck you Jacques Demers.
Fuck you Bob Hartley.
Fuck you Michel Bergeron
Fuck you Michel Villeneuve
Fuck you La Presse.
Fuck you rds.
Fuck you CKAC
Fuck You Dave Morrissette.
Fuck You Ron Ron Ron.
Fuck you, la racaille des médias de Montréal.
Pis fuck you Réjean Tremblay, même si t'as rien à voir là-dedans. Je peux quand même pas envoyer chier la faune journalistique montréalaise pis en épargner le spécimen le plus détestable.
Kessé ça? À la télé, Jacques Demers qui parle de la pire crise de l'histoire du Canadien. On mentionne que l'image du club va en être ternie à jamais, que des carrières vont se terminer, que le papier de La Presse qui sort demain sera incisif, percutant, révélateur, que le centième sera ruiné, que Bettman est en route pour Montréal... Moi, j'entends ça, je me dis: Ça y est, ils ont pogné Price qui est allé déterrer le corps du Rocket et qui a violé la dépouille pendant que Higgins se caressait en le regardant... pis la nouvelle sort: les frères Tits pis Hammer connaissent un dealer de drogue. BIG FUCKING DEAL!! Moi aussi, je connais un dealer de drogue, ça fait pas de moi un criminel!
Fuck you, les journalistes! C'est votre responsabilité de vérifier vos sources avant de dire n'importe quoi! On peut faire un recours collectif contre cette bande de sans desseins?
Médias de marde. Comment ils ont pu faire ça? À CKAC, Ron Ron Ron tenait les auditeurs en haleine pendant presqu'une heure, mentionnant qu'il savait tout, qu'il était au courant, qu'il allait faire l'annonce, que des policiers attendaient les joueurs à Dorva pour procéder à des arrestations... Et puis, pffuuiitt. C'est même pus un pétard mouillé. C'est... rien.
Je hais les journalistes sportifs. Pis mon Éric, j'ai ben hate de te voir défendre cette gang de mange-marde là.
Ah pis fuck you Carey Price. T'es pas tanné de donner 5 buts par game, gros pas bon? Un petit séjour à Hamilton, ça y ferait pas de tort. Esto qu'il goale mal.
Fuck you les Habs. Si j'avais des billets pour la game de samedi, calvince que je vous huerais.
5 commentaires:
Estif mon gars !
Mon chum et moi on a tellement passé une soirée de marde après que les 4 de l'antichambre, avec leurs faces longues de marde, laissaient présager le pire !
On zappait RIS, RDS, LCN, RDI pendant que RON se faisait aller la gueule à la radio ! Chacun avec nos laptop, on regardait la nouvelles évoluer et les spéculations allaient bon train !
Plusieurs se disaient que c'était la fin de la carrière de Price, Higgins et Serge. Calvince ! Et comme on disait que c'était hyper grave, on se disait "viol collectif", viol qui a tourné mal, ils ont tué une pute !
Sérieux, j'étais super inquiète. Je m'imaginais le lendemain au déjeuner expliquer au fils de mon chum pourquoi 3 de ses héros ne rejoueraient pas... Tsé, reconstruire une équipe après un coup comme ça, ça doit pas être évident ! Mais reconstruire un petit gars de 9 ans qui perd ses héros, c'est bad en tab...
Les osti de morons de l'antichambre qui disaient que ça ne s'était jamais vu quelque chose comme ça ! Bande de jounaleux de marde ! Même à 110 %, le journaliste de la Presse qui a sorti la nouvelle, semblait dire qu'il avait le meilleur scoop du monde et que Montréal serait ébranlé.
En ce qui me concerne, je suis ébranlée, certe ! Ébranlée par tant de bêtise !
Osti de bande de 2 de quotient !
À bientôt Ben !
Miss Lu
Bon, par où commencer ma bande d'impies !
On va y aller avec le Red Bull/Vodka, première bombe larguée par Jean Perron.
L'ancien instructeur-chef a dûment averti Bob Gainey avant de lancer la nouvelle. C'est une histoire semblable qui lui a coûté son poste en 88'.
Gainey connaît la position de commentateur de Perron, mais c'est un collègue qui a retourné l'appel à Perron 24 h plus tard. Manque de jugement criant.
Perron a choisi son moment; l'équipe partait sur la route. Aurait-il dû attendre le retour à Montréal et donner du temps ? On ne le saura jamais si la situation aurait été différente.
Mais, Jesus Price avait des rumeurs au cul depuis le début de l'année concernant la boisson. Certains ont parlé de cure de désintox pour sa première blessure.
Higgins, il est visiblement un gars au bord de la crise de nerf. Toujours blessés, il ne deviendra jamais le power forward qu'on attendiat de lui, va demeurer un joueur oridniare avec une paye ordinaire.
Pour le petit Toton, je vais revenir sur lui plus loin.
Et pour l'un des trois, il bambocherait sérieusement dans mon coin, dossier à suivre.
Guy Lafleur fumait entre les périodes et buvait à la Pamalou (discothèque de Valleyfield) Peter Mahovlich jouait saoul. Mais ils performaient. Les trois mentionnés sont lâches comme 15.
L'Opération Axe dont sont impliquée les Frères Kalashnikov et Hammer.
Le joueurs slaves ont toujours été aux prises avec des difficultés d'adaptation. Pavel Bure et Sergei Fedorov aurait été près de la mafia russe, l'organisation de hockey slovaque serait dirigée par le KGB ou une organisation louche et Jaromir Jagr avait des problèmes de gambling connu dans le milie interlope newyorkais.
Andrei ne parlait pas l'anglais à son arrivée. Son frère Sergei, plus fringuant, a joué son junior à London avec une des équipes les plus puissantes. Il a connu la victoire et le succès jeune.
Arrivé à Montréal, c'est plus difficile et il peut difficilement compter sur son frère aîné.
Arrive donc le type en question fortuné, bien fringué qui peut tout trouver. Filles, alcools, autos luxueuses. Un peu comme en Russie imprégné de capitalisme; quand tu reçois un cadeau, ferme ta gueule !
Le hic, c'est que le dividu louche place les frangins entre deux chaises; je peux être bien gentils, mais en bout de ligne, faut que tu rapportes. Les joueurs sont donc tributaires de ce type.
Dans un milieu ou l'argent coule à flot et où les hockeyeurs traversent la douane facilement, la ligne est mince. Sans oublier, le domaine des paris.
Revoyé Lance et Compte quand le préfêt de la LNH passe dans le vestiaire pour metter en garde les joueurs. J'ai vu la même chose au junior AAA. Les hockeyeurs sont des cibles potentielles et faciles.
Et est-ce que les journalistes devaient sortir ces histoires ? Et comment. Quand une bombe comme celle-là pète, tu dois être ferré en pour faire face à la musique. Tu te mets la tête sur le billot.
Leurs infos étaient du béton et l'équipe connaît trop de difficulté pour une équipe aussi talentueuse (eh oui, je l'avoue, faites un X dans votre calendrier).
Mais, la multiplication des émissions sportives, le lock-out du JdM qui incite La Presse a mettre deux fois plus d'efforts dans sa couverture, amène les journalistes du beat à sortir des squelettes du placard.
Y'avais des fantômes au Forum, des squelettes au Centre bell. Les journalistes ont longtemps habrillé les frasques des joueurs. Là, ça a dépassé les bornes. Ces idoles ne méritent pas tant de flashs.
Quand Mathias Brunet a déterré les histoires de l'Artiss avec la journaliste russe il y a deux ans, Kovy a démenti comme une fillette. Quoi qu'en pensait les sceptiques, la saison terminée, on a obtenu la certitude à 200 % que Brunet avait fait un boulot irréprochable.
Évidemment que le commun des mortels sans torche; mais Pierre Boivin a du pain sur la planche, une maudite belle tranche de seigle à part ça. Il y a un maillon qui n'a pas fait son boulot et la mâlice est entrée dans la cabane.
Gestion de crise 101 chez le pu-Glorieux grâce au travail acharné des journalistes. J'appuie sans relâche ma communauté. Et pas juste parce que c'est contre le Trois-couleurs; tout simplement parce que certains ont profité de leur statue et aujourd'hui ils tombent de leur socle.
Hier c'était Nortel, les commandites, aujourd,hui c'est la Flanellette, demain ça va être qui ? Go get them boys !
nabot
Je viens de comprendre quelque chose. Après toutes ces années à te fréquenter mon Éric, je t'ai toujours vu prendre contre le Canadien. Tu es donc devenu successivement partisan des Sabres, des Leafs, des Bruins, des Caps, des Canes et j'en passe, au gré des adversaires de la Flanelle. Je me demandais quand même pour qui, au fond de toi, tu prenais vraiment. Aujourd'hui je comprends. Tu prends pour les journalistes. Elle est là, ton allégeance.
Tsé, je blâme pas les médias d'avoir sorti cette histoire. Ça sent évidemment pas bon et ils ont des sources. Ce qui est inexcusable, et même toi tu devras l'admettre, c'est toute la hype qu'ils ont créé avant de sortir ce pétard mouillé. À CKAC, c'était la folie. À la Zone, 110, antichambre, tout le monde disait que c'était la fin du monde. Peut-être que ce qui est sorti n'est que la pointe de l'iceberg, c'est même fort probable, malheureusement. Mais calvasse, le reste n'est que rumeur, alors tous les trous de culs de la télé, s'ils ne sont pas certain de ce qu'ils avancent, s'ils font seulement se fier aux ragots qui circulent mais décident de s'avancer quand même en affirmant toutes les bêtises qui sont sorties en ondes hier soir... qu'ils ferment leur gueule de pourri sale. Y a rien qui va me faire changer d'idée là-dessus.
Hier, on a assisté à du vrai travail d'amateur, de charognard. Et y a pas grand chose qui m'écoeure plus que ça. Les médias ont une responsabilité envers le public, celle d'être fiable. Et hier, cette responsabilité a sacré le camp. Encore une fois.
En fait, je te le concède, ils ont fait du marketing sur le dos d'une nouvelle.
Mais la rumeur, elle a été amplifiée par le public.
L'enquête n'est pas terminée, mais si tu écoutes, c'est grave ce qui s'en vient.
C'est juste que la police doit compléter son boulot avant que l'on lève le voile.
Ça m'écoeure de dire ça, mais les médias sont un bien de consommations. On se marchandise comme on peut. Et personne ne veut se faire damer le pion.
Certains ont parlé, mais je ne pese pas que ce soit tout du faux. Dans la chambre et sur la gallerie de presse, il s'en dit des rumeurs. Pour que ça pète, il faut que l'anguille soit grosse en maudit sous la roche. Et la rumeur s'étend comme la peste. C'est pas toujours les moins bons qui sont frappés.
Mais le principe est que toute rumeur part d'un fond de vérité.
nabot
Montréal,
Ville de marde.
Vâze
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